À la suite de plusieurs malaises, Ed Avery est conduit à l’hôpital. Après avoir établi un diagnostic inquiétant, les médecins lui proposent un traitement novateur à base de cortisone dont on ignore encore les effets secondaires. Efficace les premiers temps, il procure à Ed un sentiment de bien-être. Mais peu à peu, celui-ci perd ses repères…
« C’est une œuvre très forte, incisive et nerveuse, franchement délirante. Derrière le miroir est comme un dessin d’un seul trait : une ligne qui s’épaissit jusqu’à l’éclatement final. James Mason trouve ici son meilleur rôle ; son jeu est net, franc, direct, inexorable. »
François Truffaut, Arts, 5 septembre 1956