Dans la nuit, au sommet d’une grande horloge, s’animent, chacun leur tour, trois petits automates : un singe agile, une jolie danseuse et un bouffon acrobate. Nina, la petite fille de l’horloger, se met à rêver. La voici petite chanteuse des rues. Et ballerine amoureuse d’un soldat de plomb. Et princesse à la recherche de son beau chevalier…
Les contes de l’horloge magique sont composés de trois titres, La petite chanteuse des rues (1924), La petite parade (1929) et L’horloge magique (1928).
« La magie Starewitch. Époustouflant triptyque ressuscitant des chefs-d’œuvre d’antan. Un total enchantement. »
Michel Roudevitch, Libération, 10 décembre 2003