Julien accomplit un crime parfait en supprimant le mari de sa maîtresse. Contraint de revenir sur les lieux du crime, il se trouve coincé dans l’ascenseur pendant tout un week-end. C’est alors que toute la mécanique mise au point par le couple se dérègle…
« Je me réjouis de voir ce film rendre enfin justice à Maurice Ronet, qui fait si peu « acteur » et qui sait faire croire, avec sensibilité et une grande économie de moyens, à la vie intérieure de son personnage. »
Jacques Doniol-Valcroze, France-Observateur, 5 février 1958